L’article 37bis de la loi sur la police de la circulation routière réprime l’usage de substances qui influencent la capacité de conduire. Dans une récente affaire, un homme était poursuivi à la suite d’un rapport d’expertise qui établissait qu’il était sous l’influence d’amphétamines alors qu’il conduisait. Le conducteur se justifiait par la prise d’un médicament pour les troubles de l’attention, en démontrant, par un calcul évalué par lui-même, que la quantité de produit illégal trouvée dans son échantillon était dans la limite de l’usage médical. Pour la Cour de Cassation dans un arrêt du 12 octobre 2021, le jugement qui retient ces constatations pour acquitter le conducteur viole la disposition légale.
Véhicule volé : la CJUE impose à l’organisme d’indemnisation de prouver la connaissance du vol par la victime
Le 30 avril 2025, la Cour de justice de l'Union européenne a jugé que, lorsqu'un accident implique un véhicule volé, il appartient à l'organisme national d'indemnisation de prouver que la victime savait que le véhicule était volé, et non à elle de démontrer son...



